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| | Dis tu veux venir jouer avec moi? | |
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Miria
Sexe : Messages : 142 Age : 28 Inscrit le : 11/07/2011
| Sujet: Dis tu veux venir jouer avec moi? Jeu 12 Jan - 1:27 | |
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| ▬ NOM : C'est pas une bonne question ▬ PRÉNOMS : Miria ▬ SEXE : Tu veux les lunettes de ma grand mère? ▬ NATIONALITÉ : Française. Tu dois te dire que Miria n'est pas un nom très Français n'es-ce pas? Tu a raison, c'est parce qu'elle l'a changer. Son nom, pas sa nationalité u_u ▬ ORIENTATION SEXUELLE : Tu veux que te montre? *clein d'oeil suggestif* |
▬ AGE & DATE DE NAISSANCE : 16 ans. N'a PAS encore le droit de voter, de conduire, de boire jusqu'à l'overdose ni même le droit d'être sur l'ordi plus de deux heures ô monde cruel. Née le (attends je vais chercher son acte de naissance) 02 Novembre très précisément à 1h11 du matin. WoW tu m'étonne qu'elle a son caractère de cochon déplumé. ▬ STEP I : Description physique
Déjà que tu me demandais si j’étais une fille ou un mec mais alors là, c’est grave ! Si si je te jure ! Je me suis emmer*** à me trouver un avatar (Merci Google je t’aimerais toute ma vie même si t’en a marre de moi), un de ces jolis avatars qui vous séduit direct et toi…oui toi ! Tu viens me demander une description physique ? Je vais porter plainte pour tentative d’incitation au suicide mon gars, ça va pas se passer comme ça, nan mais tu te crois où ? Je te signale que j’ai une ******* de dissertation de ***** à faire, mon emploi du temps est charger. Non vraiment ça va pas se passer comme…oh un cookie ? Tu sais que je t’aime toi ? *gros yeux globuleux trop pas sexy tentant d’imiter le chat botté avec assez peu de réussite* C’est vrai, tu me le donne ? Oooh c’est trop gentil ! *range son revolver dans son sac à main et en ressort un couteau, une assiette, un soutien-gorge et une fourchette* Finalement – et c’est bien parce que je suis pas gentille – je veux bien m'acquitter de cette tâche ô combien ingrate de faire l'éloge moi-même de mes atouts /se lance des fleurs sans prendre garde à ses chevilles enflées/.
Ce qui est à suivre est très fortement déconseillé aux moins de cent ans.
- Spoiler:
Miria est une jeune fille aux cheveux blonds et non elle ne les a pas teintés quoique c'est pas l'envie qui aurait pu lui manquer. Imaginez vous sa tête avec des cheveux noirs vous voyez le désastre?
J'aimerais vous dire qu'avec ou sans cheveux tout court qu'ils soient blonds ou noirs, Miria est une jeune fille très belle...MAIS oui vous avez devinez, c'est que ce n'est pas le cas. Ses parents étaient vraiment des sadiques pour l'avoir dotés de yeux verts émeraude (c'est vert l'émeraude?). Bah oui c'est vrai quoi! Des yeux verts vous en voyez tout les jours? Alors en plus d'avoir l'air d'une folle avec ses lèvres constamment retroussés pour un sourire de psychopathe qui ne la quitte jamais, elle a des yeux verts. Des yeux verts que les gens aiment bien fixés. Ce qui revient à dire qu'ils la fixent elle. Et ça, c'est pas bon pour le business. Un psychopathe se doit de pouvoir passer incognito dans la foule après avoir accompli ses quelques méfaits du jour. Ce qui n'est pas son cas. Je vous avais déjà dit que le destin était parfois cruel?
Et sinon. Mis à part ses cheveux blonds et ses yeux verts qui lui donnent un air de poupée qu'elle n'est en aucun cas - les apparences sont vraiment trompeuses - Miria est une jeune fille dans la moyenne niveau taille et poid *YEAH* Victoire de son régime légume-poisson? Poisson d'avril? Dommage, c'est pas encore l'heure. Non mais plus sérieusement, elle a cela pour elle qu'elle n'a pas l'air aux portes de l'obésité. Sans être non plus trop mince ou trop lourde ou pas assez quoique... Elle aurait pu être qualifiée de "jolie fille" si elle ne se négligeait pas autant au point d'aller en cours sans s'être coiffés les cheveux. D'ailleurs parlons en encore un peu de ces cheveux. On sait qu'ils sont blonds. Je viens de vous dire qu'ils sont le plus souvent décoiffés. Le look y est. Quelques mèches qui pendent lamentablement de part et d'autre de son visage, c'est trop la classe. Non? On évitera d'évoquer les quelques feuilles qui s'y emmêlent constamment. Vermine avec.
Elle a de longues jambes pour foutre des coups de pieds aux gens qui se frotte à elle d'un peu trop près. Si seulement elle s'épilait...(blague). Non (oui) mais le problème avec de longues jambes comme les siennes c'est qu'elles ne sont jamais mises en valeur avec des robes. Vous avez déjà vu une fille qui se mettait en robe alors que les pantalons lui vont mieux? Et bien, c'est tout trouvé. On ne met pas de robe sur un corps de poupée ayant le diable en elle. Et ce nœud papillon ridicule là? Un mélange chaotique je vous dit. Ça lui donne trop l'air d'être une fille sage à papa alors que c'est tout le contraire.
Ça vous intéresse de savoir que sa peau est douce? Que son teint est pâle? Que ses sous-vêtements sont rose? Qu'elle a presque pas de poitrine? Suis-je bête! Je viens de vous le dire...
C'est dangereux de se fier aux apparences.
▬ STEP II : Description psychologique
Un jour elle m'a dit : "Est-ce que le foie et les intestins sont comestibles?" C'est fille est folle. Totalement cinglée. Le traumatisme de son enfance? Mais non, c'est juste une excuse tout ça. Ça devrait même pas être permis de mettre sur la conscience de ses pauvres parents son anormalité psychique (j'aime les combinaisons de mots que j'invente).
/!\ WARNING /!\ C'EST UNE TEMPÊTE DE GLACE!
Ce qui suit est une énigme, je réserve une récompense à qui saura trouver les défauts et les qualités de mon personnage. Bah woui, vous croyez quoi? Que moi je m'emmer**** à vous mâcher le travail? Bah oui, c'est ça, rêve toujours. Bon alors, tu joue?
- Spoiler:
Les yeux fermés, affalée sur le toit les pieds pendant en l'air...
Dormant. Non. Juste somnolant.
Miria ne savait pas si sa présence sur le toit de l'école était "légale". Ce mot en lui-même la fit rire tant sa naïveté. Qui respectait les règles à la lettre de nos jours? Personne. Quelle importance d'ailleurs? Non, elle ne jouait pas très souvent sa rebelle à braver les interdits de façon inutile. Seulement que dans certaines circonstances...
Circonstances qui se répétait souvent d'ailleurs...
Les yeux fermés, dans le froid de l’hiver. Vêtue simplement de son uniforme qui avait autrefois dû être noir, mais qui, à force de se traîner partout, avait perdu son éclat initial. Les pieds dénudés elle était la mieux placée pour se rendre compte qu'il faisait froid. Ses lèvres étaient crispées, ce qui lui donnait un air intensément concentré.
A quoi pouvait-elle être concentrée ?
« Ha… merde… »
Et c’était si bien exprimé. LA question du jour. Pourquoi ? Hein ? Pourquoi toujours des Pourquoi ? Un de ces Pourquoi l’avait envoyé ici. Pourquoi la neige est-elle blanche ?
…
Y avait mieux pour y répondre que d’aller patauger dedans mais c’était une question intéressante. Pourquoi hein ? Pourquoi la neige était-elle blanche. Elle aurait eu envie de répondre un truc trop classe du genre : «Parce qu’elle a oubliée de quelle couleur elle était » mais ce n’était pas cela n’es-ce pas ? On n’oubliait jamais rien. On devait vivre avec. Ce ne serait pas juste si elle avait le droit d’oublier. Si elle avait ce droit à l’oubli alors que beaucoup comme Miria en rêvait. Mais l’oubli n’était pas une solution. Ce n’était même pas une réponse.
Un doux liquide salé et chaud coula de ses yeux. De petits bruits sortirent de sa bouche. Elle sanglotait.
*Je pleure ? Pourquoi ?*
Un autre de ces Pourquoi qui commençait à lui monter à la tête pour venir triturer son cerveau congelé avec l’espoir d’y ramener un peu de chaleur...et de raison tant qu'à faire. Elle joignit ses deux mains, cherchant à se les réchauffer. Elle ne pouvait plus faire un mouvement. Juste coller ses deux mains entre elles et pleurer… encore. Comme une gamine. Une gamine qu’elle n’avait jamais vraiment cesser d'être et qu’elle s’était contentée d’ignorer jusque là.
*J’ai froid*
Après déjà deux heures passés dehors...
Pourquoi elle ne bougeait pas ? Pourquoi ne courrait-elle donc pas se mettre à l’abri de ce froid qui lui glaçait le sang comme beaucoup l’aurait fait ? Mais elle n’était pas comme tout le monde, elle voulait se prouver qu’elle n’était pas comme tout le monde alors elle en faisait le moins possible comme eux. Parce que tout le monde aurait accepté sa situation alors qu’elle, elle n’avait pas voulu s’y résoudre. Parce qu’ils étaient fades, transparents et n’avait pas plus d’ambition les uns que les autres.
La neige recommençait à tomber doucement, en fin flocons ressemblant à du coton. Si doux… si froid. Se posant doucement sur ce petit corps frigorifié et y restant, la température étant trop basse pour les faire fondre. Elle enfouit son visage dans ses bras. Toujours les yeux fermés, ne parvenant pas à dormir. Elle était encore dans ses pensées et était bien partie pour y rester.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle s’étonna elle-même de n’avoir pas remarquer l’énorme livre encyclopédique vu sa taille qui était à ses pieds quelques mètres plus bas.
Et ce... Qu'es-ce? Un livre intitulé "Le Dépit amoureux".
Prise d'un fou rire incontrôlable Miria ne tarda pas à tousser sans discontinue, subissant les contrecoups de ses caprices. C'était malin, maintenant elle allait sans nul doute se payer une maladie peu glorieuse. Depuis quand cela existe des maladies glorieuses d'ailleurs? Elle dérapait. Sérieusement.
Sans savoir pourquoi, elle descendit de son perchoir avec difficulté pour aller récupérer le livre incriminé et commença à le feuilleter sans vraiment le lire. En quoi ça la réchaufferait?
Il n’y avait qu’une seule personne qui aurait pu trouver quelques mots pour la faire rire de cette situation et elle avait disparue. Mais quoiqu’il arrive elle restera toujours dans sa mémoire et peut-être…un peu…dans son cœur.
▬ STEP III : Histoire
15 lignes minimum ! Seulement? Nan mais ô en quinze lignes je pourrais même pas te raconter la vie pourrie qu'elle a et dont tout le monde s'en fiche. T'a tout compris mon pote, c'est bien une fille et pas la plus...normale qui soit. *On va faire genre qu'il y a des filles normales en ce bas-monde* Nan mais je vous jure, celle-là elle va vous rendre la vie infernale pauvres mortels vous savez pas dans quoi vous vous êtes embarquer...*se rince l'oeil d'un air qui se veut tragique mais qui frise plus la constipation qu'autre chose*
PATHWAY OF PERDITION
Structure >> Prologue: Une petite insertion à l'intrigue. Biographie : L'histoire du personnage. Troisième personne du singulier, point de vu externe aux temps du passé. Souvenirs de Jeunesse: Fragment de sa vie passée. _Des rêves d'enfants déchus: Type Epistolaire. Première personne du singulier, point de vu interne. _Entrer dans l'adolescence c'est comprendre bien des choses: Rp Libre. Troisième personne du singulier. Point de vu omniscient. _Désillusions: Rp Libre. Point de vu interne. _La Chute: Point de vu externe. Troisième personne du singulier. << PROLOGUE : Celle-dont-on-ne-connaît-pas-le-nom…
Miria, personne ne connaît son nom. Visiblement, elle l’a effacer de sa mémoire, elle ne le prononce plus, l’a quasiment éradiquer de sa vie. C’est juste trop dur d’y penser. Une enfance paisible, une adolescence presque merveilleuse…oui, notons bien le « presque » qui change le tout. Après tout, entres l’enfer et le paradis il n’y a qu’un pas..., il suffit juste de ne pas le franchir…
Dommage, à 15 ans il y a beaucoup de choses que l’on ignore et malgré toute la bonne instruction qui lui a été fournie, un chapitre a été négligé…sans doute le plus important, ce qu’elle a appris a ses dépends.
Le désespoir est une torture à la fois douce et cruelle…surtout lorsqu’on y a goûter par deux fois.
BIOGRAPHIE : Miria, l’innocence déchue.
Miria était l’unique héritière d’une famille noble, qui, d’ailleurs en attendait beaucoup d’elle pour cette raison. Ses parents étaient froids et distants, ne lui accordant que le peu d’attention que l’on put accorder à une simple domestique car pour eux, elle n’était rien de plus. Leur fille, certes, mais seulement lorsque ça les arrangeait comme lorsqu’ils se rendaient chez des amis pour prendre le thé par exemple. Elle n’était pas cajoler, chérie, aimé de quelconque façon que ce soit…juste « emprisonnée dans une cage d’or ». D’aussi loin que pouvait remonter ses souvenirs, elle n’avait jamais eu droit à un regard attendri ou quoi que ce soit de ce genre, juste des consignes à suivre, un comportement exemplaire à afficher perpétuellement. Puisque ses parents ne s’en occupaient pas, ils lui payaient une gouvernante comme la majorité des familles nobles de leur condition le faisait. Celle-ci était très stricte et lui bourrait le crâne de règles et d’idées préconçus.
Hélàs, Miria n’était pas une gamine très docile, à l’image de son Père qui savait se faire respecter et s’imposer en toutes circonstances. Pendant des années, elle s’était amusé à faire des misères à ceux que ses parents engageaient pour son éducation, d’une part car le « jeu » en valait la chandelle, histoire de savoir qui gagnerait et combien de temps l’autre tiendrais la tête hors de l’eau. D’autre part car elle avait une sainte horreur des règles et de tout ce qu’ils lui rabâchaient sans cesse. Rebutée par l’autorité, elle se complaisait à faire l’exact opposé de ce qui lui était enseigné. Ses parents ne voyaient pas cela d’un bon œil mais se disait qu’elle était très jeune et qu’elle finirait bien par se ranger de leur côté comme toute jeune fille d’aussi bonne famille…
Grossière erreur. Effectivement, plus elle grandissait et plus elle prenait de l’assurance, son caractère rebel s’accentuant. Pour palier à ce laisser-aller de sa part, ses parents avaient voulu la marier contre son gré, certains qu’un foyer et la maternité calmeraient ses ardeurs…enfin, cela reste la version officiel et Miria n’avait aucun mal à penser qu’ils avaient juste voulu se débarrasser d’elle. Après tout, ce n’était pas comme s’ils s’étaient souciés d’elle depuis sa naissance…ils l’avaient toujours considérés comme un fardeau économique.
« Héritier désiré, Héritière née. »
Cette simple phrase parlait d’elle-même. Ils avaient voulu un héritier mâle pour finalement, se retrouver avec une fille qui leur ferait perdre énormément d’argent pour la dot.
Vendue comme une vulgaire marchandise sur un marché, elle s’était perdue dans des rêves amers de fuite, être libre comme le vent, bien loin de son monde rempli de solitude. A 15 ans, allait-elle se marier ? La question ne s’était pas poser. De toute façon, ses parents ne lui avait pas laissé le choix, comme toujours, ils avaient décidé de tout pour elle.
On aurait pu croire la cause perdue avant qu’elle ne rencontre un jeune homme. Elle ne l’aimait pas, ça aurait fait trop cliché. C'aurait été trop facile. Il était juste son ami, tout simplement son seul ami…
Ils firent connaissance progressivement, ce ne fut pas le coup de foudre immédiat mais elle avait commencé à avoir des sentiments plus intenses pour lui. Des sentiments qu'elle n'avait jamais éprouver pour quelqu'un. Ce qui aurait d'ailleurs été difficile puisque les seules personnes qu'elle côtoyait était les domestiques en charge d'elle et les quelques enfants de quelques amis quelconque de ses parents. A 15 ans, elle ne savait pas encore ce que c’était, ne faisant pas de réelle différence entre l’amour et l’amitié. Tout dans le même plat mais ce qui était sur, c’est qu’au fond, ils étaient plus qu’amis.
Le destin fait si mal les choses…
Lorsque ses parents apprirent on ne sait comment la relation qu’ils entretenaient, il y eu…quelques complications. Oui, bien sur, c’était prévisible. Tous les beaux projets de mariage qui partent en fumer, ce n’est pas du joli.
Que s’est-il passé par la suite ? Comment en est-elle arrivée là ? La réponse importe peu, c’est comme ça, c’est tout. On ne peut pas ou plutôt on ne DOIT pas connaître le passé de quelqu’un en détail. Sinon, ou s'amuserait moins à découvrir les petits secrets des uns et des autres.
SOUVENIR DE JEUNESSE
DES RÊVES D’ENFANT DÉÇUS
«Cher Journal, Je viens d’avoir 9 ans, que crois-tu que Père et Mère m’offriront ce soir ?J’ai tellement hâte d’y être tu sais ? Enfin, non, tu ne sais pas, tu ne peux pas savoir, tu n’es qu’un journal après tout. Si la magie existait, j’aurais pu te donner le don de la parole et on aurait parlé pendant des heures et des heures. Pour le moment, je dois te laisser mais je reviendrais vite. Le temps passe si vite lorsque j’écris, j’aimerais prendre mon temps pour me préparer avant de descendre à table.
Je te raconterais tout en détail bien sur, Mirwi. »
« Mon Cher Journal, Finalement, Père est resté chez Tante Meredith pour dîner et Mère est restée dans ses appartements, elle pleure beaucoup, je ne comprend pas pourquoi. Je ne veux pas que Mère pleure le jour de mon anniversaire. Tu crois qu’elle ne s’en ait pas souvenue ? Peut-être, ce n’est pas grave, demain, Oncle Orphan m’enverra une lettre pour me féliciter, comme chaque année, et là, ils s’en souviendrons. Ce n’est pas grave qu’ils aient oubliés tant que pour se faire pardonner ils m’offrent encore plus de cadeaux. Cette peste de Lavinia sera folle de rage quand elle verra tout ce qu’ils m’ont acheter. D’ailleurs, je vais lui écrire une lettre, oui, je m’ennui à ce point. Toi aussi je m’en doute bien mais je reviendrais demain et on reparlera encore.
Je vais aller me coucher avant que ma gouvernante ne vienne vérifier ce que je fais. Je te l’ai dit plusieurs fois mais je ne me répéterais jamais assez sans doute, cette femme est horrible, odieuse, exécrable et encore, je pèse mes mots. La dernière fois, elle m’a enfermée dans les cachots parce que j’avais « osé lui répondre ». Elle n’a pas le droit de faire ça, je me vengerais.
En attendant, on se revoit demain. Mirwi.»
ENTRER DANS L’ADOLESCENCE C’EST AUSSI COMPRENDRE BIEN DES CHOSES…
Miria…non, mieux vaut ne pas prononcer son nom de famille, elle n’en a pas, elle n’en a jamais eu…aujourd’hui, elle veut juste oublier… Ce n’est pas facile, tant pis, il l’aiderait à oublier… Elle ne le connaît pas, du moins pas encore, après tout que sais t-elle de lui ? Rien si ce n’est qu’elle l’avait connu à tout hasard dans un bar miteux où elle venait de trouver refuge après une énième altercation avec ses parents, il y a de cela bientôt une semaine. Il avait juste été là avec son sourire réconfortant, un peu gêné peut-être au vu de la situation et elle, elle n’avait eu que ses yeux pour pleurer…pas spécialement romantique pour une première rencontre il fallait bien se l’avouer. Et puis, qu’importe au final. Au mieux, ses parents lui trouveraient un vieux noble bien gras qu’ils la forceraient à épouser et qui la battrait dès qu’ils seraient en désaccord. Au pire, elle était morte…
Oui, peut-être étais-ce cela, elle allait sans doute mourir. Tuer par l’idiotie de ses parents…pff comme s’ils s’imaginaient un instant qu’elle se soumettrais à leur volonté ? Les laisser dicter sa vie et n'être plus bonne qu'à dire "amen" à tout ce qu'ils lui disaient?
_C'est trop bête…, pensa t-elle alors à haute voix. _Pardon ?
Retour brutal à la réalité, toujours ce même bar...toujours à la même table comme chaque soir qui s’était écoulé depuis leur première rencontre…
_Qu’es-ce qu’il y a ?
Elle s’efforça d’esquisser un sourire rassurant aussi peu convainquant que la réponse qui suivit :
_Rien, ce n’est rien, je repensais à un livre que j’ai lu ce matin… _Et qu'est-ce qu'il avait de bête ce livre? Laissa t-il échapper, presque malgré lui.
Son regard se fit alors insistant, il se doutait de quelque chose, c’était irrémédiable.
Et encore un sourire pour la route. Décidément, elle n’avait rien trouvé de mieux pour esquiver une conversation qui l’a mettait mal à l’aise.
_Tu est sûre de ne pas vouloir en parler ? _Non, ce n’est rien, vraiment, tu as l’air de te faire des idées. _Et toi tu m’a l’air de quelqu’un qui cache quelque chose. _Mais que vas-tu chercher ? Tu ne me connais même pas, fit-elle, irritée. _Justement, je ne te connais pas. Je ne sais rien de toi et pourtant cela fait une semaine que l’on sort ensemble ! S’exclama t-il.
Une semaine…oui c’est vrai. Sur le coup, tout ce qu’elle avait trouver à dire c’était pour lui demander de sortir avec elle, chaque soir, dans le même bar… Son état pitoyable avait du le convaincre d’accepter avant de se retrouver avec un suicide sur la conscience. Malgré la médiocrité de la situation, il restait toujours avec elle. Miria ne pouvait que lui en être reconnaissante.
_Je suis désolée, je… _Non ce n’est rien, je n’aurais pas du m’emporter pour quelque chose d'aussi "bête", c’est moi qui suis désolé.
Elle le regarda droit dans les yeux avant de soupirer. Certes…
A trop poser de question, il allait les mettre dans une situation inconfortable...à ce moment-là, elle ne savait pas encore à quel point elle avait raison.
***
Des jours, des semaines s’écoulèrent pendant lesquelles ils se retrouvaient tout les soirs dans ce même bar, faisant connaissance petit à petit, lentement mais sûrement car si Miria se renfrognait à lui confier la plupart de ses soucis, elle lui faisait suffisamment confiance pour lui parler d’elle et de sa famille, tout en restant distante à ce propos. Justement, plus elle essayait d’esquiver la question, ce qui devenait casi-flagrant et plus il se faisait des idées.
Elle aurait tout donner pour qu'il arrête de la regarder avec cet air qui la mettait si mal à l'aise. Parallèlement, elle savait qu'elle avait de la chance de l'avoir à ses côtés. Il était le seul à lui parler sans faux-semblants, avec franchise...peut-être est-ce ainsi qu'elle est tombé amoureuse de lui...
L'amour, la plus cruelle des tortures...
*Loin des yeux, loin du cœur, proverbe bien menteur car malgré la distance c'est à toi que je pense...*
Elle ne pouvait pas s'y dérober. Dans ce manoir immense rempli de plus de vide que de trésor, seule affalée sur son lit, son journal dans ses mains, comme quand elle était petite. Plus elle pensait et plus elle pensait à lui comme si toutes ses pensées étaient irrémédiablement tournées vers lui...en ce temps là, les choses étaient tellement plus simples que bien des jours plus tard.
DESILLUSIONS
_C’est un comble, une honte, jeune fille, rendez-vous compte !
« Oui c’est ça, gueule tant que tu veux ça te rendra pas plus ridicule que d’habitude », ais-je voulu lui répondre avant de me retenir in-extremis. Après tout je ne pouvais pas parler ainsi à ma mère bien que celle-ci n’en fut jamais vraiment une pour moi…rhaa foutus liens de sang, incompréhensibles et inutiles.
_Vous n’avez donc rien à dire pour votre défense ? S’indigna ma mèr…génitrice…après tout, je ne la considère guère plus que ça de toute façon. _Déjà si vous me laissiez le temps de penser à ce que je m’apprête à dire…, laissais-je sous entendre, une pointe de reproche flagrante. _Ce serait bien mieux si vous pensiez également avant d’agir ! Et si quelqu’un d’autre que cette chère bonne Betty vous avait vu en compagnie de ce…ce bon à rien ? Imaginez le déshonneur dont nous aurions été accablés !
Betty… ? Rien que ce nom m’horripile, je savais bien que l’on ne pouvait faire confiance à personne dans cette maison et encore moins à ceux qui se veulent bien clamer être les garants de ma « bonne éducation ». Je ne vois pas ce qu’elle me reproche le plus du coup. Avoir été vue en compagnie d’une personne de rang inférieur au vu de la société ou de l’avoir ridiculisé ? De toute façon, c’est la même chose, on revient toujours au même point : l’honneur….parlons en d’ailleurs. Parce qu’il y avait un quelconque honneur à me fiancer à un inconnu sans me demander mon avis peut-être ?
…je sens que je vais regretter ce que je vais dire mais tant pis, qui ne tente rien n’a rien.
_Vous n’auriez pas été grandement déshonorés, vous ne me considérez pas comme votre fille…si je ne me trompe pas, on peut guère souffrir d’un quelconque déshonneur nous venant d’un être dont la simple existence nous laisse indifférent…c’était bien ce que vous m’avez toujours dit non ?
Le vent que je viens de lui mettre est mémorable et je me surprend à sourire. Je ne me savais pas si branchée aux vannes suicidaires. Je sais ce qui va suivre. Et le pire, c'est que j'aime ça. Pas le fait de me prendre quelques coups "accidentellement" mais être moi-même. J'aime ça. Sa main s’abat sur ma joue dans un bruit sourd, me faisant presque perdre l’équilibre. Réflexe : je porte ma main à ma joue, elle me fait mal mais ce n’est que le long début d’une dispute encore plus douloureuse…j’aurais du rester au lit ce matin.
_Je vais te faire perdre tes petits airs de rebelle moi, cracha mon Père qui jusque là avait eu la bonne idée de ne pas intervenir.
Deux fous furieux, j’ai peu de chance d’en ressortir en vie et là, tout ce qui me vient à l’esprit est de me demander ce qu’ils vont me faire. Si j’en ressortirais en vie plus précisément…il y a peu de chance qu’ils en viennent à me tuer, ils perdraient l’appui de ce noble à qui ils ont promis ma main, trop de bénéfices à perdre…par contre…
Je ferme brusquement les yeux pour retenir mes larmes. Cela ne peut-être vrai, ils n’oseraient pas s’en prendre à lui… au fond je n’ai pas envie de savoir, je veux juste sortir de cette chambre ou je me sens oppressée.
Ensuite, le trou noir, lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours dans ma chambre, le soleil venait à peine de se lever…comme si rien ne s’est passé. Je me prends alors à espérer, l’espoir fait vivre, moi il m’a tué. Cet espoir que je le reverrais un jour…
LA CHUTE
> Si je ne t’avais pas autant aimé, je n’aurais pas autant sombrer <
Cliché ? Guimauve? Essui-tout. Accordé.
Il faisait nuit, la lune bien perché, une nuit idéale pour s’enfuir…idéale pour quitter ce monde. Être libre comme l’air, son plus grand rêve. Elle était partie comme ça, en coup de vent, sans aucun regret, banal comme fin ? Qui a dit que c’était une fin d’abord ? Ce n’est que le début. Âgé de seulement 16 ans depuis peu et étant de ce fait, mineure et donc sous la responsabilité de ses « adorables » parents, Miria avait du fuir, se cacher. Heureusement pour elle, elle n’était pas resté seule très longtemps. Si ça avait été le cas, elle n’aurait certainement pas survécu. Elle avait fait la rencontre d’un gentil marchand qui l’avait recueilli chez lui pour quelques mois, nourrie et logée sans aucune taxe, par simple bonté. Faut croire que ce n'est pas seulement dans les films que ça existe. Puis elle s’était débrouillée comme elle l’avait pu, voulant faire ses preuves, la fougue de la jeunesse et surtout, l’insouciance. Mortel…mais si excitant.
Désespérée de le retrouver un jour. Se sentir coupable et l'être. C'est entendu. Que reste t-il encore?
L’amour est-il un crime ? Non, ce n’était même pas de l’amour, sans doute une excuse de plus qu’elle avait trouvé pour couper les ponts avec sa famille…
Son tuteur le temps de quelques semaines lui avait conseiller le pensionnat Nemo où elle finit par atterrir par la force des choses. Effectivement, il devait voyager souvent pour son commerce et ne pouvait pas la prendre avec lui. Une chance de se reconstruire? Le sourire aux lèvres, fière d'elle. Fière de pouvoir enfin enterrer la hache de guerre et prendre sa revanche. Arrivée là "par des circonstances douteuses" disaient quelques élèves qui la croisaient dans les couloirs. Elle leur faisait alors le sourire-de-la-mort-qui-tue. Celui qui lui donnait un air de psychopathe. Des circonstances douteuses hein? Ne pouvait-on pas en dire autant d'eux? Après tout, pas mal d'entre eux étaient là en désespoir de cause. Et elle leur disait quelquefois : "Ma Mère aurait peut-être voulu m'envoyer au couvent." Ce à quoi ils ne répondaient rien, occupé à essayer de comprendre. Des phrases qui ne voulaient rien dire et qui n'avaient rien à voir avec les discussions qui l'entouraient. Des phrases comme celle-là qui la faisait passer pour une folle auprès des autres. On la disait folle. Ils avaient raison. Elle était définitivement folle. Folle de joie. Et comptait bien le rester. Quiconque tenterait de l'emprisonner à nouveau dans une bulle de mensonge, elle fracasserait ses quelques espoirs comme l'on déchire les ailes d'un papillon devenu trop gênant.
▬ STEP IV : Groupe désiré ET EXIGER *rayer la mention inutile*?
CIRCUS Avoue que t'aurais pas deviner?
▬ TERMINUS : A effrontément et en toute impunité rajouter son CV
Moi (qui toi?) je m'appelle (comment tu t'appelle?) Vanessa (Vanessa Paradis je suis ton fan!) et j'ai (tu a une petite soeur nommée Alison, j'avais donné le même nom au chat du voisin que maman à écraser la semaine dernière) 16 ans (39 ans mais ça me dérange pas que tu te rajeunisse c'est bien aussi). Actuellement (tu voudrais pas dîner avec moi en tête à tête ce soir?) j'ai 16 ans (39 c'est bien aussi. Je te comprend, les complexes et tout ça c'est difficile à vivre) mais je viens de vous le dire (non t'a dis que t'avais 16 ans MAIS surtout t'en fais pas, je te comprend hein?) ce qui n'a d'ailleurs rien à voir avec le reste de la phrase que j'ai en tête (alors t'accepte de venir dîner avec moi?) donc je vais juste mettre un point final (pas la peine, on sortait pas ensemble mais si tu veux ça peut s'arranger) à cette phrase (quelle phrase?) et en débuter une autre (du genre : "et si on allait à l'hôtel plutôt?") tout en tentant d'ignorer ma double personnalité psychopate (je garderais le secret promis). Ainsi donc (je reste suspendu à tes lèvres ma princesse), ce que je voulais dire (tu voulais dire que tu allais dîner avec moi) c'est que (que tu voulais dîner avec moi!) je suis ravie de vous rencontrer (moi aussi princesse blonde aux yeux verts) mais j'ai pas les yeux verts (lentilles de contact des merveilles oui) et je suis pas blonde (le soleil était très lumineux ces vacances) donc (oui?) je (tu?) voudrais (une glace?) des cookies (wow la logique). Cadeau de bienvenu? (une glace à la vanille?) Ou (des caramels fait maison?) une batte de baseball (j'aime pas trop le sport en plein air mais c'est toi qui vois hein?) pour mettre une raclé (t'a perdu ta clé?) à ce con (tu veux de l'aide?) entre parenthèses (No Comment.) qui vient de casser le mythe (de merlin-qui-sauva-tout-camelot-d'un-seul-coup-de-baguette...au secours?).
Fin bref, c'est pas tout mais je vais retourner à ma torture du jour qui est - non non, ce n'est pas encore l'amour fou - mais une dissertation qui me fait - restons polis - un peu ch*** Je vous avais déjà dit que les profs étaient des sadiques en puissance? Ah et si vous avez remarquer pleins de fautes d'orthographe c'est la faute du clavier *sort*
Biz♥
Dernière édition par Miria le Mar 21 Fév - 5:46, édité 1 fois | |
| | | Sae Administratrice - Fondatrice
Sexe : Messages : 722 Age : 30 Inscrit le : 01/02/2010
| Sujet: Re: Dis tu veux venir jouer avec moi? Jeu 12 Jan - 13:15 | |
| ▬ « Ahahahahah. »
J'aime, j'aime, j'aime ! Tu disais que tu galérais en RP ? Mes fesses ouais ! Y'a un étonnant contraste entre tes commentaires, toujours hilarant et le drame, melé à l'indignation que tu as insufflé à ton personnage et son histoire. C'est juste GENIAL. « Ça vous intéresse de savoir que sa peau est douce? Que son teint est pâle? Que ses sous-vêtements sont rose? Qu'elle a presque pas de poitrine? Suis-je bête! Je viens de vous le dire... C'est dangereux de se fier aux apparences. » (flemme de quoter) Ca, c'était classe ! Très belle chute, j'apprécie !
Ta description psychologique est juste WOW. Sincèrement, c'est rare de te voir écrire dans un style plus dramatique et c'est tout aussi excellent. Ton personnage est très intriguant.
L'histoire nous permet d'en savoir un peu plus sur elle, et la rebelle qui va à l'encontre de ses parents et n'en fait qu'à sa tête ? COUPINE ♥ La suite est poignante. J'aime de manière inconsidérée les passages de son journal intime et je ne te parle même pas du « Héritier désiré, Héritière née. » ! Toute ton histoire est géniale enfaite après réflexion, vraiment. Je suis fan de toi (pas la peine de te la péter HEIN ! =P) et j'ai hâte d'RP avec ta psychopathe au coeur en miette.
C'était vraiment une très belle présentation bravo. Quelques fautes par-ci par là, comme tout le monde, mais vraiment super intéressante. J'ai adoré. Ca fait plaisir de commencer avec une si belle présentation. Bon, je vais arrêter de te lancer des fleurs ou tu vas plus te sentir. ^^ Seul bémol ? C'est le pensionnat NOMA pas NEMO, boulet ! ;D
Te connaissant, le groupe des Circus t’ira très bien. Donc c'est ok pour moi. Par contre tu m’embêtes un peu avec ton histoire de sans nom... A peine débarquée et tu contournes le dérèglement ! ;D Mais comme ça une importance dans ton histoire et ça ne sort pas de nul part, je veux bien faire une exception. Ca fait bon genre quand même pour une modératrice ! ;D On va dire que t'es l'exception qui confirme la règle hein ? Ralala...
PS : Ton terminus... Sérieux ! xD J'ai pas tout suivis mais WO. Bon je suppose que t'as refais ta présentation après. J'ai changé la configuration du forum pour que ça soit plus organisé parce que c'était le bordel, je me doutais bien. Comme ça, c'est mieux je pense. Je vais aller guetter ta candidature que j'ai mis dans les news !
▬ PRÉSENTATION : Validée !
| |
| | | Miria
Sexe : Messages : 142 Age : 28 Inscrit le : 11/07/2011
| Sujet: Re: Dis tu veux venir jouer avec moi? Jeu 12 Jan - 22:10 | |
| - Citation :
- Tu disais que tu galérais en RP ? Mes fesses ouais !
Mais si!!! J'ai beaucoup de mal à me mettre sur un rp (flem attitude oblige) mais faut croire que j'étais inspirée hiiii. - Citation :
Y'a un étonnant contraste entre tes commentaires, toujours hilarant et le drame, melé à l'indignation que tu as insufflé à ton personnage et son histoire. N'est-ce pas? Je me suis entraînée à tout faire : tragique, comique, ironique... - Citation :
Sincèrement, c'est rare de te voir écrire dans un style plus dramatique Heu, j'avais penser à faire quelque chose de mélancolique plutôt (EPIC FAIL /PAN/) mais merci c'est...un compliment? Hihi. J'écris souvent des drames dans mes rp. Tu dis ça parce que tu me connais pas dans le "métier" *rejette une mèche de cheveux pour faire style elle assure* - Citation :
Bon, je vais arrêter de te lancer des fleurs ou tu vas plus te sentir. ^^ Je sens la rose *sort* - Citation :
Seul bémol ? C'est le pensionnat NOMA pas NEMO, boulet ! ;D Crotte, mes yeux ont eu des illusions =o - Citation :
Par contre tu m’embêtes un peu avec ton histoire de sans nom... A peine débarquée et tu contournes le dérèglement ! Bah, j'étais inscrite sous le pseudo de Miria et (flem attitude powa) j'avais pas envie de changer encore. J'aurais dû attendre sinon que tu revienne (genre file moi ton numéro je t'appelle vers 1h du mat ok?). Na. Mais sinon, je suis très fière de moi (pas pour avoir contourné le règlement hein? *sifflote*). Merci♥ Et si on se faisait un petit rp bientôt? (nan, je suis pas en train de t'inciter fort peu discrètement | |
| | | Sae Administratrice - Fondatrice
Sexe : Messages : 722 Age : 30 Inscrit le : 01/02/2010
| Sujet: Re: Dis tu veux venir jouer avec moi? Jeu 12 Jan - 22:24 | |
| Je viens de t'envoyer un message te disant que je te répondrais plus tard, mais tant pis ! MÊME PAS VRAI D'ABORD è.é Dramatique, mélancolique, tu tapes dans les deux louloutes. ;) Arrête deux secondes de rejeter tes cheveux en arrière et va te les attacher, allumeuse ! PARCE QUE JE LE VAUX BIEN! (A) Ouiiii RP, RP, RP ! Mais faut que je fasse ma présentation avant... AHAHAH. Oui, parce que tu remarqueras que j'ai même pas prit le temps de présenter mon personnage encore. (Paye ton exemple). J'avais un peu la flemme enfaite, déjà quand tu vois le contexte.... (a) FONDATRICE INDIGNE QUI DONNE PAS L'EXEMPLE, LAISSANT CETTE FONCTION A UNE FILLE FOLLE A LIGOTER♥. Je commencerais ce soir. Au moins les descriptions ! Si je m'en sors bien, demain on devrait pouvoir RP. ;) JOUE AVEC MOIIII!!♥ | |
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